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Debout la France !

7 septembre 2007

L'Europe.

A peine élu, Nicolas Ier décide de renier les positions de campagne justes et républicaines (comme le non à l'entrée de la Turquie en Europe), mais au contraire de s'entêter dans des mesures "à prendre", en fait totalement inutiles, inefficaces ou bâclées.
Prenons comme exemple, la décision anti-républicaine qui est de faire passer, par le parlement, un mini-traité européen qui reprend substantiellement tous les détritus que l'on pouvait déceler dans la Constitution Européenne, alors que le peuple y avait dit "non". La France c'est la France, l'Allemagne, c'est l'Allemagne, l'Espagne, c'est l'Espagne, et jamais tous les pays européens ne seront une seule et unique nation : les différences de culture et de moeurs font qu'ils ne sont pas gouvernables de la même façon, et l'Angleterre et la Hollande l'ont compris.

A tous les pseudo-modernes, qui croient que c'est folie de la part de la France d'avoir refusé ce détestable traité, et qui sont persuadés que le peuple français ne vaut pas le peuple allemand ou le peuple Espagnol, ou encore le peuple Italien, car tous ces pays ont dit "oui" à la Constitution Européenne, il y a des choses à objecter, et une en particulier : partout où le traité a été accepté, c'est le Parlement qui a voté, mais en aucun cas la population. Si on avait directement fait passer la constitution par le Parlement français, les suffrages n'auraient pas été de 55% pour le "non", mais de... 90% pour le "oui" !

Et comme dirait NDA : "J'aime la France, je vote NON".

Et, pour terminer ce "chapitre", cette fameuse phrase de Phillipe Seguin, lui aussi gaulliste républicain,mais pas candidat en 2007 : "les trois gros candidats de cette campagne sont autant de détaillants qui vont chercher leur programme chez le même grossiste : l'Europe". A méditer...

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5 septembre 2007

Mon candidat.

Eh oui, je poste enfin la photo du candidat que je soutiens, après discussions, après mûre réflexion, après information, après meeting, et même après différents changements d'avis.

NDA

Nicolas Dupont-Aignan, le seul candidat républicain gaulliste de la campagne 2007, et qui aurait dû bénéficier des 500 parrainages, si 50 maires ne s'étaient pas retirés de la liste de ses signatures, afin de se rattracher in extremis à sa Majesté Nicolas Ier (je rappelle que retirer son parrainage à un candidat pour l'apposer à un autre est illégal, mais bizarrement, cela n'a pas été relevé).

Vous pouvez vous rendre sur son blog ou encore sur le site de son "parti", Debout la République !

Ce politicien honnête et cohérent a été élu pour la troisième fois député de l'Essonne.

Nicolas Dupont-Aignan était, au départ, à l'UMP, mais après que Sarkozy lui ait interdit de prendre la parole à un meeting qui allait avoir lieu (véridique), celui-ci a quitté Sarkozy Land, et malgré les tentatives de Nicolas Ier de l'étouffer politiquement, en lui mettant des bâtons dans les roues, l'Essonne a sû garder la tête froide.

A très bientôt.

19 mai 2007

La France et l'Ecole

Depuis Mai 68, l'école n'est plus là pour transmettre du savoir mais pour garantir l'épanouissement de l'élève, ce qui est inadmissible et qui montre une nouvelle facette de la faillite de Mai 68 et de ce que ce carastrophique mois (qui, après avoir détruit pièce par pièce les composantes de la société de consommation, a poussé plus que jamais la population à consommer) a engendré.
Rien que le fait d'avoir baptisé le ministère de l'Instruction publique "ministère de l'Education Nationale" est la preuve que la société a commencé à penser que l'Education n'était pas du devoir des parents, mais de l'Ecole, et l'instruction n'était le devoir de personne, et personne ne devait être obligé d'être rigoureux par rapport à l'Instruction.
Depuis, le niveau des élèves a atteint des profondeurs abyssales. Car depuis Mai 68, on a commencé à imaginer que "pour que Paul comprenne les mathématiques, il faut d'abord connaître Paul" (Nicolas Sarkozy, avec qui je ne suis généralement pas en phase, avait tout à fait compris le problème de l'Education, même si il a effectué quelques modulations dans son programme).
Ce genre d'aberration est largement accepté par la majorité des parents, et on excuse les lacunes des enfants non pas par le manque de rigueur que l'Ecole l'oblige à avoir (le manque, pas la rigueur), mais par un handicap naturel auquel on n'a jamais cherché à apporter de réponse, sinon dans des causes psychologiques inexistantes de l'élève (par exemple, expliquer les lacunes orthographiques de l'élève par la dyslexie, mais pas par la faillite de la méthode globale).       
En résumé, l'Ecole n'en est aujourd'hui plus une, ce qui explique que tant d'élèves soient illétrés, voire analphabètes (15% des élèves de 6ème ne sait pas lire).

12 mai 2007

L'économie, cette pièce de théâtre.

Nul doute que la société et l'économie actuelles font en sorte que chacun y ait une place préçise et délimitée.
Ainsi on peut distinguer les "rôles" dans la société, et les "acteurs" économiques.
La pièce de théâtre qu'est donc l'économie devra un jour tomber. Et on en recommençera une nouvelle. Mais ce n'est pas en elle-même que l'économie actuelle prendra sa fin. C'est quelque chose d'extérieur qui la réduira au souvenir. Hors, je ne vois pas comment une pièce de théâtre qui ne veut pas finir finit, sinon par l'action d'une force extérieure qui lui échappe totalement.
Donc, il y a deux possibilités pour que l'économie actuelle prenne fin :
1) Les spectateurs économiques, c'est à dire le peuple, se lèvera de sa place pour réclamer un remboursement immédiat, c'est-à-dire le passage à une économie nouvelle et satisfaisante ;
2) Une seconde pièce de théâtre, c'est-à dire une force étrangère, la remplacera et s'implantera sur la même scène : pour cela, il faudra les armes.

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